Temps de lecture : 3 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
À ce jour, dans la région du Siounik, dans le sud de l’Arménie, plus d’une dizaine de villages sont complètement enclavés. Pour jouir de l’appellation village, il faut qu’il y ait mairie ou au moins maire. Tout autour se trouvent des hameaux dans la même situation. Nous nous sommes rendus dans cinq de ces villages : Keranouch, Djagaten, Chigahor, Nerkin Hans et Dzav. Des villageois, qui décrivent la situation comme cauchemardesque, confient que beaucoup de femmes et d’enfants ont dû partir. Les hommes sont restés pour créer une route improvisée avec les moyens du bord.
Une entreprise de la plus grande localité du Siounik, Kapan, leur a prêté un bulldozer pour façonner une route de terre à travers les bois dans les hauteurs. Si ce chemin d’infortune n’est pas goudronné, il deviendra vite...
Se laisse marcher sur les pieds, elle reste figée sur une ligne de conduite qu’elle a appelée « neutralité ».
Elle ne comprend toujours pas que la Turquie d’Erdogan veut en finir avec l’Armenie et les arméniens.
Son chef, Monsieur Le Drian, se fait endormir par des conseillers qui préfèrent que l’on envoie de l’aide aux survivants…. Après la tragédie !
Courage Arménie, tu ne peux compter que sur toi
Pauvre petite Arménie le nettoyage ethnique continue le pacha turque ne veut pas de chrétiens sur ses frontières
on regarde on ne fait rien !
Et pendant ce temps là, nous nous grattons la tête pour savoir s'il faut des éoliennes ou du nucléaire ou bien pour savoir si les Bobos-Ecolos ont de nouvelles idées pour restreindre nos libertés... Pourvu que ça dure !